L’UNWRA (l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine au Proche-Orient), principal canal humanitaire vers Gaza, voit certains de ses employés soupçonnés d’avoir pris part aux massacres du 7 octobre. L’UNRWA a annoncé avoir « immédiatement résilié » les contrats des salariés identifiés et ouvert une enquête pour « établir la vérité sans délai ».1 En réponse, les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Australie, la Finlande et les Pays-Bas ont décidé de suspendre leur financement. Voici la traduction d’un article de la journaliste Amira Haas, paru dans Haaretz le 4 février 2024.
